A partir de ce jour, sa maman l'accompagnait à ses entraînements avec plaisir. Wissal était heureuse et épanouie. Elle pouvait enfin jouer librement au football, et de plus en plus de petites filles eurent envie de jouer comme elle. Tout le monde à Forestia reconnaissait maintenant qu'il n'y avait pas de différences entre les filles et les garçons et surtout pas dans le sport. Mais de temps en temps, un petit match pouvait rafraichir les idées des plus têtus !